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L'arme de destruction massive ultime
 

Test de l'équipement HAARP (2003-2004)

Il est utile de noter que l'extension du réseau d'antennes (par exemple dans les années 2003-2004) nécessitait, comme faisant partie du contrat obtenu par BAE Systems et ses différents sous-traitants, les tests de routine de l'équipement de guerre climatique. Une étape intermédiaire IRI limitée (LIRI), pourrait être en opération en 2004, suivant l'achèvement du réseau de 180 antennes du contrat de Phazar et en attendant la livraison finale des émetteurs haute-fréquence.

À cet égard, un rapport publié par le parlement russe (la Duma) en 2002 suggère que l'armée américaine avait des plans pour tester ses techniques de modifications climatiques sur le site d'Alaska, ainsi qu'à deux autres endroits:
"Les comités ont rapporté que les USA prévoient de tester trois installations de ce genre. L'une d'entre elles est située sur le site militaire d'Alaska et ses tests à échelle réelle doivent commencer début 2003. La seconde est au Groenland et la troisième en Norvège.

"Quand ces installations seront dirigées vers l'espace à partir de la Norvège, de l'Alaska et du Groenland, un périmètre fermé sera créé avec un potentiel vraiment formidable pour influencer le milieu proche de la terre", disait la Duma.

Les projets des USA d'entreprendre des expériences scientifiques à grande échelle avec le programme HAARP, non contrôlées par la communauté internationale, vont créer des armes capables de couper les lignes de communications radio et d'endommager les équipements installés sur les vaisseaux spatiaux et les fusées, de provoquer des accidents graves dans les réseaux électriques et les pipelines de gaz et de pétrole, et d'avoir un impact négatif sur la santé mentale des gens dans des régions entières ont dit les députés (agence Interfax, 8 août 2002).

Que ce rapport de la Duma russe sur les tests "commençant début 2003" soit correct ou non, l'administration américaine doit être affrontée au niveau national et international, politique et diplomatique, aux Nations-Unies et au Congrès américain, par la communauté scientifique internationale, par les environnementalistes et le mouvement pacifiste. Le futur de l'humanité est menacé par l'utilisation de techniques de modification climatique.

En outre, pour mener une campagne efficace, il est essentiel qu'une enquête scientifique corroborative des cas de climat inhabituel observés ces dernières années (et particulièrement depuis début 2003) soit entreprise. Cette enquête devrait être de grande portée, collectant les données pertinentes et corrélant les occurrences climatiques spécifiques avec l'activité des antennes du site d'Alaska ainsi que des deux autres sites, etc.

L'étape finale de l''instrument de recherche ionosphérique (FIRI), décrite comme "une taille maximale de 180 antennes, arrangées en 15 colonnes et 12 rangées" est prévu d'être complétée mi 2006 (en supposant l'installation des émetteurs doubles restants). À ce moment le programme HAARP aura atteint sa capacité maximale, impliquant la possibilité de modifier sélectivement, pour un usage militaire, les tendances climatiques n'importe où dans le monde.

L''instrument de recherche ionosphérique (IRI) est actuellement (juin 2004) composé de 48 antennes et a une capacité de 960000 watt. Quand ils seront installés, les 132 émetteurs additionnels donneront à HAARP une capacité de 3.6 megawatt (3600000 watt), voir tableau 2 ci-dessous. La construction de HAARP est financée conjointement par l'US Air Force, l'US navy et l'Agence des Projets de Recherche Avancée de Défense (DARPA) (Business Wire, 10 Juin 2004).

Tableau 2: comparaison des phases IRI,
Source: http://www.haarp.alaska.edu/haarp/phases.html

  DP FDP LIRI FIRI
Nombre d'antennes actives 18 48 108 180
Puissance totale des émetteurs (kW) 360 960 2160 3600
Gain maximal des antennes (dB) 19 24 29 31
Puissance efficace rayonnée maximale (dBW) 74 84 92 96
Largeur minimale du réseau d'antennes (degrés)   9 8 5
Gamme de fréquence 2.8 à 10MHz
Types de modulation CW/AM/FM/PM
 

L'étape avancée de capacité maximale (FIRI) correspond à ce que l'US Air Force a appelé "posséder le temps":

Les forces aérospatiales américaines 'posséderont le temps' en tirant parti de technologies émergentes et en se concentrant sur le développement de ces technologies pour des applications de guerre... De l'amélioration des opérations alliées ou de la perturbation de celles de l'ennemi au moyen de la modification à faible échelle de conditions climatiques naturelles à la domination complète des communications globales et au contrôle de l'espace, la modification du climat offre au combatant une large gamme d'options possibles pour vaincre ou exercer des pressions sur un adversaire... Aux États-Unis, la modification du climat fera probablement partie de la politique de sécurité nationale avec des applications à la fois domestiques et internationales. Notre gouvernement mènera une telle politique, en fonction de ses intérêts à différents niveaux.
(Université de l'Air de l'US Air Force, rapport final AF 2025)

Guerre climatique contres les états "voyous"

Les occurrences inhabituelles du climat aux USA et en Europe de l'ouest ont été abondamment documentées.

Cependant, ce que les médias ont échoué à souligner est que le nombre de changements climatiques inusuels et spectaculaires se sont produits ces dernières années dans des pays qui sont identifiés comme des cibles possibles d'après la doctrine de guerre préemptive de l'administration américaine.

Les conditions climatiques en Corée du Nord, par exemple, ont été marquées depuis le milieu des années 90 par une succession de sécheresses, suivies d'inondations. Le résultat a été la destruction de systèmes agricoles complets. À Cuba, les évènements sont très similaires à ceux observés en Corée du Nord (voir tableau 3).

En Irak, Iran et Syrie, une sécheresse dévastatrice s'est produite en 1999. En Afghanistan, quatre années de sécheresse dans les années précédant l'invasion menée par les États-Unis en 2001, ont apporté la destruction de l'économie paysanne, entraînant une famine généralisée.

Bien qu'il n'y ait pas de preuves que ces conditions météorologiques soient le résultat d'une guerre climatique, le laboratoire Phillips Geophysics, associé dans le programme HAARP, assure des cours pour le personnel militaire de la base de l'Air Force de Hanscom, dans le Maryland, sur les "techniques de modification du climat". Les grandes lignes de ces cours envisagent explicitement le déclenchement d'orages, d'ouragans, etc pour une utilisation militaire.
(voir http://www.dtc.army.mil/tts/1997/proceed/abarnes/ et http://www.dtc.army.mil/tts/tts97/abarnes.zip).

La manipulation du climat est l'arme de préemption par excellence. Elle peut être dirigée contre des pays ennemis, ou même des "nations amies", sans qu'ils en aient connaissance. La guerre climatique constitue une forme secrète de guerre préemptive. La manipulation du climat peut être utilisée pour déstabiliser l'économie, les écosystèmes et l'agriculture d'un ennemi (par exemple la Corée du Nord ou Cuba). Inutile de dire qu'elle peut déclencher une dévastation des marchés de la finance et des matières premières et peut potentiellement être utilisée comme instrument d'un "déli d'initié" pour des gains financiers. Elle a la capacité de déstabiliser les institutions d'un pays. Simultanément, les perturbations de l'agriculture créent une plus grande dépendance pour l'aide alimentaire et les aliments de base, comme les céréales, importés des USA et d'autres pays occidentaux.

L'administration Bush a déclaré qu'elle se réserve le droit d'attaquer ces pays préemptivement en vue de garantir la sécurité du territoire américain.

Washington - comme faisant partie de ses positions nucléaires reconsidérées - a menacé plusieurs pays incluant la Chine et la Russie de frappes nucléaires préemptives. On pourrait supposer que le même ciblage de pays voyous existe en ce qui concerne les techniques de modification climatique.

Bien qu'il n'y ait pas de preuves de l'utilisation de guerre climatique contre des états voyous, les directives politiques sur les "techniques d'intervention climatique" ont déjà été établies et la technologie est tout à fait opérationnelle.

Tableau 3: occurrences climatiques inhabituelles: Corée du Nord, Cuba, Afghanistan et Irak

Corée du Nord

Des inondations et des sécheresses récurrentes, souvent la même année, ont frappé la Corée du Nord depuis 1995, 220000 personnes sont mortes de la famine qui s'ensuivit, d'après les propres chiffres de Pyongyang. Les chiffres américains donnent comme nombre de morts de la famine 2 millions.

La première inondation majeure s'est produite en 1995.

Il y a eu des inondations et une sécheresse en 1999. Le grave manque d'eau résultant de la sécheresse de 1999 a aidé à la destruction des cultures.

"La température de l'eau dans les rizières monte au-dessus de 40° et les grands plants de riz se flétrissent. En particulier, presque tous les plants et graines de maïs moissonnés se détériorent".

En juin 2001, il y a eu une longue sécheresse avec une pluviosité de seulement 10% du niveau normal, ce qui a sapé les cultures agricoles. Puis, en octobre, il y a eu de grandes inondations apportant d'avantage de destruction des récoltes de riz et une situation de crise dans la distribution de nourriture.

"Des officiels de la province de Kangwon - une zone qui souffre déjà d'une pénurie de nourriture - disent que l'impact des pluies torrentielles et des inondations a été dévastateur. Les pluies normalement enregistrées en octobre devraient être d'environ 20 mm. Mais dans les zones les plus affectées 400 mm de pluie sont tombés en seulement 12 heures. "Ce fut la pire inondation que nous ayons eu depuis que les enregistrements ont commencé en 1910" a dit Kim Song Hwan, directeur du comité gouvernemental sur les dommages dus aux inondations pour la région.
(BBC, 23 octobre 2001, http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/asia-pacific/1614981.stm)

Cuba

Pendant plusieurs années Cuba a été affecté par des sécheresses récurrentes. En 1998, les pluies dans l'est étaient à leur plus faible niveau depuis 1941.

Une équipe des Nations-Unies a estimé que 539000 personnes, dont 280000 fermiers, ont été directement affectées par la disponibilité réduite de nourriture ou par la réduction de salaire due aux pertes de production. certains des effets rapportés sont: famine dans certaines zones; perte jusqu'à 14% de la récolte de canne à sucre plantée l'année précédente et réduction de celle plantée au printemps, parce que les pluies n'étaient pas suffisante pour que certaines graines germent (ce qui réduira la récolte de l'année suivante); autant que 42% de pertes des cultures principales comme les tubercules, les haricots, les bananes et le riz dans les cinq provinces les plus à l'est; pertes de production du bétail, des volailles et des oeufs.
(Aide des Nations-Unies, http://www.reliefweb.int/w/rwb.nsf/0/2975570e60ff2a7685256680005a8e2d?OpenDocument)

En 2003, une sécheresse dévastatrice a frappé la partie ouest de Cuba.

En juin et juin 2004, le pays est frappé par la pire sécheresse de son histoire.

"Une grave sécheresse dans la partie la plus à l'est de Cuba a érodé 40% des terres agricoles, affamé des milliers de têtes de bétail et 4 millions de personnes comptent chaque goutte d'eau qu'elles consomment". La sécheresse est décrite comme la pire en 40 ans.

"La sécheresse a privé la nappe phréatique d'environ 9 m de hauteur d'eau durant les 10 dernières années, asséchant 5000 puits dans la province" a déclaré Leandro Bermudez, géologue et sous-directeur de l'Institut National Cubain des Ressources Hydrauliques.
(MSNBC, 21 juin 2004, http://msnbc.msn.com/id/5262324)

Les villes vont manquer d'eau. D'après The Independant, "la sécheresse est en train de mettre Cuba à genoux".

Non remarquée par le monde, la plus longue période de sécheresse depuis des décennies a mis la plus grande partie de Cuba à genoux. Est ce que ça pourrait être la crise qui détruit finalement la révolution de Fidel?

"Partout au centre et à l'est de Cuba, des fermiers, propriétaires, citadins et officiels du gouvernement se démènent pour faire face à une sécheresse éprouvante qui a commencé il y a une décennie et s'est intensifiée ces deux dernières années.

Bien que traditionnellement arides, les provinces de Holguin, Camaguey et Las Tunas possèdent les meilleures terres et pâturages et sont depuis longtemps cruciales pour les industries laitières, bovines et agricoles de cette nation communiste.

Plus de 12500 bovins sont morts dans la province d'Holguin seulement en 2004 et la production de lait a chuté de 20%. Le prix des haricots, des bananes plantains, des patates douces et d'autres aliments est monté en flèche sur les marchés privés.

La sécheresse a causé des millions de dollars de pertes et les officiels dépensent des millions de plus pour creuser des puits, construire un pipeline d'eau et prendre des mesures pour essayer d'atténuer la crise - des sommes énormes pour une nation appauvrie luttant dans des périodes économiques difficiles et dans une bataille avec les États-Unis.

Les officiels ont aussi déplacé des milliers de têtes de bétail vers des zones plus fertiles et travaillent avec acharnement à finir un pipeline de 50 Km qui apportera de l'eau de la plus grande rivière cubaine, le Cauto, à Holguin. Le pipeline de 5 millions de $ pourrait être achevé le mois prochain.
(Chicago Tribune, 29 juillet, 2004)

Afghanistan et les anciennes républiques soviétiques d'Asie centrale

La pire sécheresse dans l'histoire de l'Afghanistan s'est produite les trois années consécutives précédant l'attaque pour l'invasion menée par les USA, de 1999 à 2001. Le redressement de l'agriculture des années 90, à la suite de la guerre avec l'Union Soviétique, a été paralysé.

Suite à l'invasion américaine de 2001, les États-Unis ont fourni à l'Afghanistan du blé génétiquement modifié et les engrais appropriés pour ces OGM, dont on a dit qu'ils étaient très résistants à la sécheresse. Cependant, le don de ce blé génétiquement modifié a mené aussi à la déstabilisation de l'économie des petits paysans parce que les variétés de blé ne pouvaient pas être reproduites localement. En 2002, des famines, qui ont a peine été rapportées par les médias, ont ravagé le pays.

Des conditions similaires, bien que moins sévères, ont prédominé dans les anciennes républiques soviétiques du Kazakhstan, du Kyrgyzstan, du Tajikistan, du Turkmenistan et de l'Ouzbekistan.

Comme en Afghanistan, le Tajikistan a eu son infrastructure ruinée par une guerre civile prolongée avec les fondamentalistes musulmans. Depuis lors, la pire sécheresse régionale depuis 74 ans a détruit les cultures sur une grande partie du pays, rendant 6.2 millions de personnes vulnérables à la menace de la famine et de la maladie, par rapport à 3 millions l'année précédente. À peu près la seule portion de l'économie qui n'a pas été affectée est le marché des stupéfiants. Le Tajikistan est la route de passage de 65 à 85% de l'héroïne sortant clandestinement d'Afghanistan, le plus gros producteur mondial.
(http://www.americanfreepress.net/Mideast/Drought__Desperation_Breed_Vio/drought__desperation_breed_vio.html).

Déclenché par les plus faibles pluies de mémoire d'homme (2001), de vastes étendues de l'Iran, du Pakistan et du Tajikistan sont réduites à l'état de désert comme la nappe phréatique s'enfonce, des puits depuis longtemps établis s'assèchent et des troupeaux de bétail périssent.

La crise semble correspondre aux prédictions alarmantes du changement de climat, suggérant que les états le long de l'ancienne route de la soie connaîtront des augmentations de température plus importantes que n'importe quelle région du monde. À la fin du siècle, il fera 5°C plus chaud dans une zone qui voit régulièrement le thermomètre grimper au-dessus de 40°C.

L'étude, publiée l'année dernière par le Centre Tyndall pour la Recherche sur le Changement de Climat à l'Université d'East Anglia, a prédit que les pays asiatiques du Kazakhstan à l'Arabie Saoudite se réchaufferont plus de deux fois plus que les autres. "Plusieurs États", ajoutait le rapport, "incluant l'Ouzbekistan, le Tajikistan, l'Afghanistan et l'Iran, seront menacés par la famine".

Au Tajikistan, les Nations Unies ont demandé de l'aide pour éviter le désastre. "Des aides étrangères substantielles sont nécessaires, il y aura sinon une famine à grande échelle", a déclaré Matthew Kahane, le coordinateur de l'aide humanitaire des Nations Unies, parlant de la capitale Dushanbe.

"Le pays a eu ses plus faibles chutes de pluie en 75 ans. Les familles qui ont survécu l'année dernière en vendant leurs vaches et leurs poules n'ont maintenant pas d'autres moyens de s'en sortir. Certains foyers ont vendu le verre de leurs fenêtres et les poutres en bois de leur toiture pour récupérer de l'argent pour acheter de la nourriture".
(The Guardian, 30 octobre 2001, http://www.guardian.co.uk/famine/story/0,12128,736902,00.html)

Irak

En 1999, l'Irak a souffert de la pire sécheresse du siècle, ayant comme effet d'entraîner une dépendance encore plus grande sur l'importation de céréales dans le cadre du programme pétrole contre nourriture. Il y a eu une chute de 70% des récoltes domestiques de blé, d'orge et d'autres céréales, ce qui a davantage affaibli l'économie du pays, écrasé par les sanctions économiques et les bombardements routiniers des avions dans les zones interdites de vol.

Une situation similaire (bien que moins sérieuse) prévaut en Syrie et en Iran, marquée par un déclin significatif de la production agricole.

 
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