... et relatent les dangers conséquents à
ce type d’expérience. On peut les consulter
en utilisant le mot anglais: Chemtrail.
La traduction de Chemtrail est "rail chimique".
Chacun sait que les satellites sont très performants
et capables d’observer par en haut de tels phénomènes.
Ces traces peuvent servir de repère afin de voir
comment réagit l’atmosphère à
un moment donné de la journée. Ces données
peuvent être transmises à une organisation
disposant de moyens techniques conséquents pour
analyse... Un super ordinateur par exemple.
On peut donc se poser la question suivante: est-il possible
de forcer l’atmosphère à réagir
dans le sens d’une prévision annoncée
et cette action ne risque-t-elle pas de perturber gravement
le temps et de provoquer des tempêtes intempestives
ou bien des inondations catastrophiques? Accessoirement
des problèmes de réaction allergique ou
bien un empoisonnement collectif par voie aérienne??
Le CNES participe au programme CALIPSO en collaboration
avec la NASA: Cloud Aerosol Lidar and Infrared Pathfinder
Satellite Observations.
L’objectif de ce programme est de mesurer l’impact
radiatif des nuages et des aérosols. Ceux-ci peuvent
être d’origine naturelle: vent de sable ou
bien éruptions volcaniques.
Les aérosols peuvent aussi résulter de l’activité
industrielle, de la pollution, d’une catastrophe
de type Tchernobyl, plus simplement du rejet continuel
de produits radioactifs dans l’atmosphère
par le fonctionnement normal des centrales atomiques en–dessous
du seuil autorisé par la loi.
Les aérosols peuvent aussi être des traceurs
passifs destinés à améliorer l’observation
de nuages dans lesquels des substances sont diffusées.
Actif est opposé à passif, et des substances
peuvent être diffusées par voie aérienne
avec un objectif précis. |